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RésuméPartant d'une source extraordinairement riche en informations, les procès-verbaux d'une enquête pontificale de 1177-1180 sur un litige entre les diocèses de Sienne et d'Arezzo des années 1120, est analysé le mode de mémorisation des témoins comme un phénomène social (mémoire communicative), et montré comment ces mémoires diffèrent selon les milieux de mémoire (mémoire collective) et comment des traditions peuvent se développer et devenir, à long terme, partie intégrante de l'imaginaire historique et même de l'histoire (mémoire culturelle). La source permet aussi des réflexions sur l'oubli collectif, corollaire de la mémoire. La tradition orale s'avère pleine de variations créatives et de constances fidèles à une vision donnée de la réalité à l'intérieur du milieu de mémoire concerné.

L'iconoclasme a été traité avant tout au travers de recherches sur la Réforme. Conditionné par la perspective de l'histoire de la Réforme, le processus a surtout été pris en considération en rapport étroit avec le rejet réformateur de la dévotion aux images et la réaction extrémiste déclenchée par la dispute théologique. En outre, l'intérêt s'est de plus en plus dirigé vers les aspects économiques, sociaux et culturels. Ce faisant, les études récentes ont mis en évidence les aspects anthropologiques et de culture populaire. La conception qui domine actuellement — autant que nous puissions en juger— voit néanmoins dans l'iconoclasme avant tout une rupture radicale avec la religiosité du Moyen Age et sa perception du sacré. S'il en était ainsi, alors le médiéviste n'aurait plus rien à dire sur ce thème, surtout lorsqu'il précise d'emblée qu'il ne traitera ni de la controverse carolingienne sur le culte des images, ni de l'hostilité des mouvements hérétiques, en particulier des hussites, envers l'image4. Cependant, l'évidence des sources à laquelle nous nous sommes heurté, nous a poussé à reposer la question de l'iconoclastie au Moyen Age.

Problematisierung des Konstrukts "Wahrheit" als Ziel journalistischer Berichterstattung im Krieg. "'Journalistische Wahrheit' beruht ... auf einer intersubjektiven Vereinbarung über die Art der Wirklichkeitskonstruktion". Die Abhängigkeit des Journalismus von der Wirklichkeitskonstruktion der kriegsführenden Mächte, zeitigt dann das "bizarre" Ergebnis, daß sich der Journalismus im Sinne einer kritischen "vierten Gewalt" zu Gunsten einer umfassenden Instrumentalisierung selbst entfunktionalisiert. Um dies zu vermeiden, sollte zunächst das Medium selbst Gegenstand kritischer Reflexionen werden. "Ich plädiere also dafür, daß objektive Berichterstattung in erster Linie die Vermittlung selbst objektivierbar machen, die Wirklichkeitskonstruktion jeder Berichterstattung als solche thematisieren sollte." (UN)